Barnabulle est une charmante série d'animation hongroise créée par István Csukás et Ferenc Sajdik, diffusée entre 1982 et 1984. Réalisée par le maître de l'animation Attila Dargay avec la technique traditionnelle du dessin animé, elle suit les péripéties d'un pêcheur malchanceux au grand cœur. Diffusée au Québec sur Canal+ et Antenne 2 dans les années 80, cette série poétique et humoristique a enchanté les jeunes téléspectateurs par son univers marin enchanteur, ses leçons de respect pour la nature et son humour doux-amer. Idéale pour les 4-8 ans, elle célèbre l'amitié improbable et la patience face aux caprices de la vie.Résumé de l'histoireDans chaque épisode, Barnabulle, un pêcheur rêveur et un peu bourru, s'installe au bord de la mer avec son fidèle appât : un asticot bavard et philosophe. Mais au lieu d'attraper du poisson, les deux compères passent leur temps à discuter avec les créatures marines – poissons espiègles, crabes malicieux et autres habitants des fonds océaniques. Barnabulle respecte scrupuleusement le "code du bon pêcheur", préférant l'amitié à la capture. Leurs aventures mènent à des quiproquos hilarants, des découvertes émouvantes et des messages subtils sur l'écologie et la bienveillance, dans un monde sous-marin vibrant de couleurs et de fantaisie.Personnages principaux
- Barnabulle : Le pêcheur principal, un homme simple et tenace avec une barbe hirsute et un chapeau usé. Toujours optimiste malgré ses échecs en pêche, il incarne la persévérance et le respect de la nature.
- L'asticot : L'ami inseparable de Barnabulle, un ver de terre loquace et curieux qui préfère papoter avec les poissons plutôt que servir d'appât. Malicieux et sage, il apporte humour et réflexions philosophiques à l'histoire.
- Les habitants de la mer : Un casting varié de créatures marines comme des poissons farceurs, des crabes grincheux ou des hippocampes rêveurs, qui deviennent des alliés ou des rivaux comiques dans les aventures quotidiennes.

Ah! Merci. J'avais retrouvé cette série par chance sur YouTube, mais le titre français ne m'était jamais revenu.
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